Fonder une famille, se mettre à son compte, acheter une maison ou un appartement : la vie est faite de rêves, de joies et de projets. Mais aussi prévoyant soit-on, elle comporte aussi son lot d’imprévus dont on aimerait bien pouvoir se passer. C’est pour faire face à ces difficultés qu’il est bon de pouvoir s’appuyer sur un partenaire de confiance à chaque étape de son existence, sous peine de se retrouver en mauvaise posture sur le plan financier. La preuve en quelques exemples.
La naissance d’un enfant est une immense source de bonheur. Mais elle bouleverse aussi le quotidien, demandant souvent de sérieux ajustements. Ainsi, il n’est pas rare que l’un des parents réduise son temps de travail pour consacrer davantage de temps à bébé. Tant que tout va bien, cette solution est idéale pour l’équilibre familial. Mais en cas d’accident ou de maladie, il faut trouver des moyens de soulager le parent resté à la maison, comme embaucher une aide à domicile ou une nounou. Autant de choix qui engendrent de nombreux frais auxquels on n’avait pas pensé. Envie de protéger votre famille ? Demandez une analyse de prévoyance sur mesure pour prévenir tout type de risque et pallier les lacunes de vos couvertures d’assurance.
Ça y est. Après des mois de recherches, de visites et de nerfs mis à rude épreuve, vous avez trouvé la maison ou l’appartement de vos rêves. Dénicher la perle rare est un investissement de longue haleine, mais tous ces efforts sont aussitôt oubliés au moment d’emménager. Malheureusement, personne n’est à l’abri d’un coup du sort. En cas de décès subit d’un parent ou d’un conjoint, par exemple, à la douleur et au deuil s’ajoutent des problèmes financiers. L’hypothèque doit continuer à être remboursée, et si le deuxième pilier a été utilisé en guise de fonds propres, il s’agira de combler le trou qui a été laissé. Pour y parvenir et éviter de devoir vendre son chez-soi, le mieux est d’être couvert par une assurance décès qui garantit la stabilité de son logement.
Se mettre à son compte est une expérience extrêmement enrichissante. C’est aussi une entreprise courageuse sur le plan financier. Qui dit liberté professionnelle, dit en effet un certain nombre de défis de prévoyance à surmonter. Saviez-vous que les travailleurs indépendants ne sont plus affiliés automatiquement à une caisse de pension ni à la LAA (Loi sur l’assurance-accidents) ? C’est donc à eux de veiller à assurer leurs prestations d’invalidité et à financer leur retraite. Pour y parvenir, la solution conseillée est de souscrire un 3ème pilier avec une rente d’incapacité de gain. C’est le meilleur moyen de faire face aux accidents et aux autres aléas de l’existence qui mettent en danger le futur de son activité. Car, comme tous les indépendants le savent bien, chaque jour de travail en moins, c’est de l’argent en moins.
En Suisse, les PME sont souvent des structures familiales et nombreux sont les responsables d’entreprise qui, à l’approche de la retraite, décident de passer le témoin à leur descendance. Habituellement, la cession se fait par un rachat progressif au fil des années. Néanmoins, le destin peut frapper à tout moment, et lorsque que le parent-patron décède brusquement, la situation peut se compliquer sévèrement.
Pour pouvoir continuer à travailler en son seul nom, le successeur doit alors racheter les parts de son autre parent, et de ses frères et sœurs le cas échéant. Dans cette situation, certains se demandent s’il n’est pas préférable de vendre ou fermer l’entreprise. Là encore, la question peut être aisément évitée si l’on choisit l’assurance adéquate.
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